Vous voulez détoxifier une vaccination ? Pensez-y a deux fois

 

Traduction de l'article "You Want To Detox A Vaccination? Think Again" de Dogs Naturally Magazine, du Dr Will Falcomer, DVM, avec l'autorisation ecrite de DNM

 

Traduction par Nelly Coadic - 18 aout 2017

 

 

J’ai été inspiré par un message Facebook dans lequel j'ai récemment été tagué :

 

"Un ami est contraint de faire le vaccin MMR (rougeole, oreillons, rubéole) au travail. Que peut-il faire pour s’en détoxifier ? Il perdra son travail à l’hôpital s'il ne le fait pas. Suggestions ?"

 

Tout d'abord, être obligé de se faire vacciner par n'importe quel établissement n'importe où, c’est tout simplement immoral. Mais ce sujet fait l'objet d'un blog tout à fait différent, dans la rubrique des droits fondamentaux de l'homme.

 

Plus important maintenant, c'est le mot « désintoxication ». C'est une idée courante : les vaccins contiennent souvent du mercure et des métaux lourds, et si nous pouvions simplement détoxifier le corps recevant le vaccin, ce corps serait de retour à la normale.

 

Rien ne pourrait être plus loin de la vérité.

 

Quelque chose de plus insidieux se produit lorsque nous soumettons quelqu'un, que cela soit une personne, un chien, un chat, un chevreau, un furet, quelle que soit l’espèce, à l’injection d’un vaccin. Nous mettons en place un état de maladie chronique, souvent une variation étroite de la maladie que nous espérons éviter, chez le patient qui est vacciné.

 

Cette maladie chronique peut durer des années, voire à vie, et peut contraindre l'animal ou la personne a une vie de misère, obligé de réagir à cette nouvelle maladie. Le terme général de cette maladie est la vaccination, et cela peut revêtir plusieurs formes.

 

 

L'histoire témoigne. Bruyamment.

Fait intéressant, cette maladie a été reconnue bien avant que les métaux lourds ne soient utilisés dans les vaccins. Le terme remonte au Dr J. Compton Burnett, un médecin britannique pratiquant la médecine en Grande-Bretagne à la fin des années 1800, qui était un observateur critique de la maladie. Son livre, Vaccinosis and Its Cure by Thuja a été publié en 1884. C'est un très petit livre mais puissant, que vous pouvez trouver sur Amazon. Il vaut le temps et les quelques dollars qu'il coûte.

 

Dans son livre, le Dr Burnett a écrit à propos de ses patients malades, souvent extrêmement malades, après avoir reçu la vaccination contre la variole, le premier vaccin largement utilisé dans le monde. Encore une fois, aucuns métaux lourds ne s'y trouvaient.

 

Ses nombreux exemples de cas comprennent :

 

  1. Un bébé mourant (dont la nourrice avait récemment été vaccinée, pas le bébé !)
  2. Éruptions cutanées
  3. Névralgie (sa douleur était derrière les yeux) depuis 20 ans (!) Patiente venue à lui, "en plein désespoir".
  4. Maux de tête chroniques depuis 9 ans
  5. Rhume chronique et maux de tête depuis 3 mois
  6. Douleur dans la colonne vertébrale (« courbé en avant, pouvant à peine marcher »)
  7. Teigne chronique, dont la guérison a été "empêchée" par la vaccination

 

 

"Mes patients ne sont pas malades après la vaccination" : Dr BlouseBlanche

(NB de la traductrice : dans le milieu de la medecine holistique aux US, on donne aux médecins allopathiques le nom de Dr BlouseBlanche)

 

Selon le Dr Burnett, un point intéressant, était celui-ci : les patients vaccinés qui étaient les plus malades étaient ceux pour lesquels le vaccin « n’avait pas pris ». À cette époque, le vaccin contre la variole était administré par injection, et il était jugé actif lorsqu'il en résultait une éruption de pustules. L’assomption était que ces personnes seraient protégées de la variole, un parent proche de la variole de la vache.

 

Ceux qui étaient vaccinés mais n’avaient pas de pustules étaient considérés être des non-répondeurs au vaccin, qui « n’avaient pas pris », c'est-à-dire n’avaient développé aucune réaction aux corps étrangers injectés.

 

 

 

Oh vraiment ? Vous avez observé combien de temps ?

Maintenant, réfléchissez un instant : combien d'animaux sont vaccinés et ne montrent aucun signe de maladie, quelle qu’elle soit aussitôt après ? Pas de fièvre, pas de perte d'appétit, pas de démangeaisons cutanées, pas de comportement étrange. Et puis, quelques semaines à un mois plus tard, ils commencent à se gratter ou à convulser ou à avoir des infections des oreilles, des signes d’agressions, un TDA, etc.

 

Je pense que c'est la norme, et c’est pourquoi ceux qui ont une vision étroite de la vaccination la jugent « sans danger ».

 

Lorsque la maladie s’ensuit, c’est souvent assez longtemps après la vaccination et que l'événement est oublié ou réfuté comme étant lié. Jusqu'à ce que la question posée soit « quand cette maladie a-t-elle commencé ?» Un vétérinaire britannique a découvert, en posant cette question à ses clients, que 75% des gens interrogés ont répondu que leurs chiens avaient commencé à se gratter environ un mois après la vaccination.

 

Le Dr Richard Pitcairn, le vétérinaire qui a enseigné l’homéopathie a beaucoup d'entre nous, a écrit sur la relation entre la vaccination et la maladie chronique qu'elle induit ICI, dans un document présenté lors de la conférence l’AHVMA en 1993.

 

C'est un traité remarquable sur la façon dont les chiens vaccinés contre la maladie de Carré ou la rage développent souvent des symptômes chroniques de l'une ou l'autre des deux maladies.

 

Voici son tableau montrant les symptômes naturels de la maladie de Carré par rapport à ce que l'on considère généralement comme des symptômes chez les chiens chroniquement malades.

 

 

 

 

 

Voici un tableau comparant les symptômes de la rage aux comportements communs que nous voyons chez les chiens chroniquement malades.

 

 

 

 

Les chats vaccinés contre la maladie de Carré féline développent une maladie chronique semblable à un cas prolongé de panleucopénie, si on le « rallongeait » sous une forme chronique. Ce graphique figure dans le document référencé plus haut.

 

 

 

Alors, devriez-vous donc "Détoxifier" ce vaccin ?

La désintoxication des métaux lourds après la vaccination peut aider, mais vous pouvez assumer que cela n’aidera pas beaucoup, car la vaccination est nettement plus profonde que l'intoxication. La vaccination ne doit pas non plus être traitée par n’importe quel type de nettoyage corporel. C'est une perturbation énergétique.

 

Alors que le Dr Burnett a trouvé que le thuya était extrêmement utile chez les patients vaccinés, Thuya est, comme la plupart des remèdes homéopathies, rarement un remède «unique pour tous». Nous avons un groupe de remèdes appelés « remèdes contre la vaccinose », qui comprend la silice, le soufre, le mezereum, l'apis, la salsepareille, etc.

 

Guérir un état de vaccinose, comme guérir un état de maladie chronique, reconnait de façon prudente les symptômes du patient, indiquant s’il ne se sent pas bien et concordant un état de santé au remède capable de provoquer un tel état, s'il était pris à plusieurs reprises dans des doses brutes.

 

Ceux qui ont récemment complété mon cours  à domicile :  Homeopathic First Aid, reconnaîtront ce langage à partir des questions et réponses que nous avons eues en direct (maintenant disponibles sur les fichiers audios lorsque vous vous enregistrerez au cours - et vous pouvez encore le faire. Vous voulez éviter les urgences ?). Nous ne cherchons pas un "remède parvo", nous recherchons un remède qui corresponde à l'état de maladie que votre animal exhibe en observant ses symptômes.

 

 

 

Que pouvez-vous faire pour votre animal déjà vacciné ?

La meilleure option est d'embarquer avec une homéopathie vétérinaire de votre choix et de traiter la maladie chronique sévère, une fois pour toutes. Ce sera un processus, mais très enrichissant.

 

Voici un exemple d’un cas cette semaine. Loma, une croisée Berger/Pit Bull de 3 ans venue de Houston, et  tout de suite remarquée à cause de son pelage rêche, ainsi qu'une histoire de maladie des voies urinaires et une peur profonde de se mouiller. Les mots de son gardien le lendemain, après que je l'ai traitée :

 

"Le pelage de Loma est devenu doux littéralement du jour au lendemain et elle fait pipi sans problèmes (après avoir interrompu les plantes médicinales afin de voir le vrai scoop). J'ai regardé en plusieurs fois  touché son pelage et il est tout simplement doux et soyeux. Comment se peut-il qu’une dose de Thuya affect son pelage en quelques heures ? Qu'est-ce que cela indique autre que le remède est approprié ? Est-ce que sa vitalité peut revenir aussi vite ?"

 

Oui. Et cela indique qu'une grande partie de la maladie de Loma était due à la vaccination.

 

Combien de fois avait-elle été vaccinée ? Deux fois dans sa vie.

 

Ensuite, avec l'aide de votre homéopathe, décrochez du manège de la vaccination. "Une fois suffit !" et c’est le chemin à suivre, ne pas répéter ces injections annuellement ou tous les trois ans, ce qui ne fonctionne même pas.

 

Cela aidera également à stimuler l'immunité de votre animal vacciné. C'est le système immunitaire qui est habituellement au cœur de la vaccination. Allergies, infections des oreilles, hypothyroïdie, tumeurs - tous reflètent des problèmes immunitaires.

 

Prenez le cas de Loma comme exemple : il n’est pas nécessaire de recevoir beaucoup de vaccin pour être malade. Le docteur Burnett a vu cela aussi. Un ou deux vaccins pourraient compromettre la santé d'un patient pendant longtemps.

 

 

 

 

 

À propos de l'auteur Will Falconer, DVM : Le Dr Will Falconer est un vétérinaire Homéopathe certifié basé à Austin, au Texas, avec une pratique générale traitant toutes les espèces avec la médecine la plus holistique de toutes. Ses dernières idées et informations utiles peuvent être

trouvées sur son blog a : www.VitalAnimal.com

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